Details
Candide ou L'optimisme
CHF 10.00 |
|
Verlag: | Erika Audio |
Format: | MP3 (in ZIP-Archiv) |
Veröffentl.: | 15.07.2022 |
ISBN/EAN: | 4061707985485 |
Sprache: | französisch |
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Beschreibungen
On sait tout de Candide, sauf une chose : quel rapport l'auteur avait-il avec ses personnages ? Les a-t-il imaginés ou connus ? A-t-il partagé certaines de leurs aventures ? Est-il caché dans un coin du roman pour les observer ? Ce regard que Voltaire pouvait porter de l'intérieur sur sa création, c'est justement celui qu'au-delà des connaissances acquises, on a eu l'audace de tenter de porter sur Candide. Cette édition change l'interprétation du plus étudié, mais aussi de plus secret des contes voltairiens. Il s'y présente de façon nouvelle. Ce n'est plus seulement, comme on l'a dit, un «catalogue de tous les malheurs humains», mis au service d'une campagne «philosophique» contre la doctrine de la providence. C'est, dans sa genèse et dans sa structure, un voyage sentimental au pays de la mémoire.
François Marie Arouet, dit Voltaire, est un écrivain et philosophe français.
Il est admis à l'Académie française en 1746.
Jeune homme turbulent, frondeur, libertin, poète mondain, écrivain "embastillé", exilé, courtisant brillant mais susceptible, "seigneur" et "patriarche" de Ferney sur ses vieux jours avant de revenir à Paris pour y mourir auréolé d'une gloire nationale, Voltaire a tout vu, tout vécu en cet âge d'or de l'esprit que nul, mieux que lui, ne peut prétendre représenter.
La fécondité et la variété de sa production littéraire sont à la mesure de la plénitude de son existence : poète ("Le Mondain", 1736), dramaturge ("Zaïre", 1732), historien ("Le Siècle de Louis XIV", 1751), il fut aussi un pamphlétaire redouté ("Le Pauvre Diable", 1758) et un avocat pathétique ("Traité sur la Tolérance", 1763). Mais la postérité a surtout retenu de lui ses réflexions philosophiques ("Lettres philosophiques", 1734 ; "Le Dictionnaire philosophique", 1764) et ses contes ("Zadig", 1747 ; "Micromégas", 1752 ; "Candide", 1759 ; "L'Ingénu", 1767)...
Le 10 juillet 1791 (treize ans après sa mort et deux ans après la Révolution française) la dépouille de Voltaire est transférée au Panthéon, église qui avait été récemment dédiée en hommage perpétuel aux grands hommes de la patrie.
Il est admis à l'Académie française en 1746.
Jeune homme turbulent, frondeur, libertin, poète mondain, écrivain "embastillé", exilé, courtisant brillant mais susceptible, "seigneur" et "patriarche" de Ferney sur ses vieux jours avant de revenir à Paris pour y mourir auréolé d'une gloire nationale, Voltaire a tout vu, tout vécu en cet âge d'or de l'esprit que nul, mieux que lui, ne peut prétendre représenter.
La fécondité et la variété de sa production littéraire sont à la mesure de la plénitude de son existence : poète ("Le Mondain", 1736), dramaturge ("Zaïre", 1732), historien ("Le Siècle de Louis XIV", 1751), il fut aussi un pamphlétaire redouté ("Le Pauvre Diable", 1758) et un avocat pathétique ("Traité sur la Tolérance", 1763). Mais la postérité a surtout retenu de lui ses réflexions philosophiques ("Lettres philosophiques", 1734 ; "Le Dictionnaire philosophique", 1764) et ses contes ("Zadig", 1747 ; "Micromégas", 1752 ; "Candide", 1759 ; "L'Ingénu", 1767)...
Le 10 juillet 1791 (treize ans après sa mort et deux ans après la Révolution française) la dépouille de Voltaire est transférée au Panthéon, église qui avait été récemment dédiée en hommage perpétuel aux grands hommes de la patrie.